Des cosmétiques homemade... Oui, mais pourquoi faire? Suite
Tout a commencé par une belle journée d'été... Non, bon, d'accord, c'était certainement l'une de mes innombrables journées passées à bosser ma thèse à la maison. Et peut-être même bien que c'était en hiver...
Bref, mon grand frère préféré, alerté par un article paru dans 60 millions de consommateurs sur la dangerosité de certains produits ménagers, décide alors de faire quelques recherches sur internet pour approfondir le sujet. Inquiet pour sa petite soeur (préférée, ça va de soi, surtout... qu'il n'en a qu'une, ça aide pour choisir) qu'il sait un poil maniaque et susceptible d'utiliser ce genre de produits, il décide derechef (voui, je suis une amoureuse inconditionnelle des expressions surannées) d'envoyer un mail à l'enfant prodige de la famille, soit, moi.
Un mail, accompagné d'une pièce jointe.
Et cette pièce jointe, c'était le guide cosmetox publié par Greenpeace.
Et là, c'est le drame. Bon, ok, celle-là, elle est facile.
Plus sérieusement, je commence à prendre conscience que tout les produits que j'utilise quotidiennement ou presque, présentent des risques pour la sante et pour l'environnement. Malheureusement, je ne connais pas encore les magasins bios, et toutes les marques classées "vertes", telles que Weleda, Dr Hauschka, Santé, etc... me sont totalement inconnues. Je me rabats donc sur les produits que je peux (difficilement) trouver en supermarché...
Autant dire que je suis vite lassée de dénicher ces perles rares quasi inexistantes dans la grande distribution...
Et puis un jour ma môman préférée (ben voui, que serai-je sans ma famille, en même temps, origine sicilienne oblige!) m'amène dans un nouveau magasin bio qui vient d'ouvrir ses portes. Et là, telle Bernadette Soubirous découvrant la Vierge au pied de sa grotte (qui lui apparaîtra 18 fois tout de même! Mode "question pour un champion" off), un monde merveilleux s'ouvre à moi (et non pas la Vierge, ça c'était pour Bernadette, faut suivre un peu nom d'un chien!).
A suivre...